La conférence Paris Climat 2015 – COP 21
Du 30 novembre au 11 décembre 2015, la France sera le pays organisateur et hôte de la 21ème Conférence des parties des Nations Unies sur le site de Paris-Le Bourget.
Cette Conférence sur les changements climatiques vise une signature d’accord international juridique sur le climat applicable dès 2020.
L’objectif est de parvenir à conclure un accord contraignant les signataires à contenir le réchauffement global en deçà de 2°C d’augmentation de la température moyenne de la planète par rapport à son niveau pré-révolution industrielle.
Il est essentiel que cet accord inclut notamment un objectif ambitieux de lutte contre la déforestation, qui contribue à environ 15% des émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité humaine. Treize millions d’hectares de forêts disparaissent, en moyenne, chaque année (soit la taille de l’Angleterre), ce qui contribue également à la perte de biodiversité, à la dégradation des services rendus par les écosystèmes forestiers (par exemple le cycle de l’eau… et l’absorption de carbone atmosphérique) et à la dégradation des conditions de vie des communautés forestières.
L’agriculture industrialisée (par exemple les plantations de palmier à huile, le soja, ou l’élevage bovin en Amérique Latine) et l’exploitation du bois et de la pâte à papier, sont les principales causes de la destruction des forêts. Une partie importante de ces productions tropicales est exportée en direction de des pays industrialisés, dont en premier l’Union Européenne. C’est ce qu’on appelle « notre empreinte forêt », c’est-à-dire la contribution de notre consommation à la déforestation tropicale. Il est urgent d’agir sur notre consommation, et plus encore d’exiger des entreprises et des pouvoirs publics de mettre un terme à l’importation de matières premières agricoles issues de la destruction des forêts.
Le cinquième rapport d’évaluation du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) publié en octobre 2014 alerte la responsabilité des hommes sur l’impératif d’agir (http://www.developpement-durable.gouv.fr/presentation-du-giec.html)
Les actions concrètes développées par Envol Vert
Envol Vert depuis l’année 2011 s’inscrit dans une dynamique d’actions concrètes pour la préservation des forêts et de la biodiversité.
Ainsi, au Nicaragua, au Pérou ou en Colombie Envol Vert mène des projets concrets en soutien aux populations locales pour lutter contre la déforestation et l’extinction de la biodiversité. Un des axes majeurs travaillés est de limiter les changements d’usage des sols (transformation de la forêt en culture ou zone de pâturage pour les vaches) tout en répondant aux problématiques nutritionnelles et économiques. Pour cela nous mettons en place des techniques d’agroforesterie et de sylvopastoralisme. Au Pérou, nous mélangeons les arbres et le café, au Nicaragua nous développons des banques protéiques et des parcours animaux en forêt et testons l’usage du poids doux comme alternative à l’abattis brûlis, en Colombie nous utilisons le Noyer Maya un arbres aux multiples propriétés. En France, nous tâchons de sensibiliser à « l’empreinte forêt » (l’impact de nos consommation sur la déforestation) grand public et entreprise et pour cela avant m’y en place un questionnaire et développons une méthodologie pour les entreprises.
« Le réchauffement climatique n’est plus un leur, au Nord de la Colombie, nous cherchons déjà les solutions pour vivre avec, pour si adapter. La déforestation a généré l’absence de pluie, nous tachons de replanter pour couvrir les dégâts, mais sans eau c’est un vrai défit auquel nous sommes confrontés », souligne Daisy Tarrier, Présidente d’Envol Vert.
La conférence Paris Climat 2015 – COP 21
Du 30 novembre au 11 décembre 2015, la France sera le pays organisateur et hôte de la 21ème Conférence des parties des Nations Unies sur le site de Paris-Le Bourget.
Cette Conférence sur les changements climatiques vise une signature d’accord international juridique sur le climat applicable dès 2020.
L’objectif est de parvenir à conclure un accord contraignant les signataires à contenir le réchauffement global en deçà de 2°C d’augmentation de la température moyenne de la planète par rapport à son niveau pré-révolution industrielle.
Il est essentiel que cet accord inclut notamment un objectif ambitieux de lutte contre la déforestation, qui contribue à environ 15% des émissions de gaz à effet de serre liées à l’activité humaine. Treize millions d’hectares de forêts disparaissent, en moyenne, chaque année (soit la taille de l’Angleterre), ce qui contribue également à la perte de biodiversité, à la dégradation des services rendus par les écosystèmes forestiers (par exemple le cycle de l’eau… et l’absorption de carbone atmosphérique) et à la dégradation des conditions de vie des communautés forestières.
L’agriculture industrialisée (par exemple les plantations de palmier à huile, le soja, ou l’élevage bovin en Amérique Latine) et l’exploitation du bois et de la pâte à papier, sont les principales causes de la destruction des forêts. Une partie importante de ces productions tropicales est exportée en direction de des pays industrialisés, dont en premier l’Union Européenne. C’est ce qu’on appelle « notre empreinte forêt », c’est-à-dire la contribution de notre consommation à la déforestation tropicale. Il est urgent d’agir sur notre consommation, et plus encore d’exiger des entreprises et des pouvoirs publics de mettre un terme à l’importation de matières premières agricoles issues de la destruction des forêts.
Le cinquième rapport d’évaluation du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) publié en octobre 2014 alerte la responsabilité des hommes sur l’impératif d’agir (http://www.developpement-durable.gouv.fr/presentation-du-giec.html)
Les actions concrètes développées par Envol Vert
Envol Vert depuis l’année 2011 s’inscrit dans une dynamique d’actions concrètes pour la préservation des forêts et de la biodiversité.
Ainsi, au Nicaragua, au Pérou ou en Colombie Envol Vert mène des projets concrets en soutien aux populations locales pour lutter contre la déforestation et l’extinction de la biodiversité. Un des axes majeurs travaillés est de limiter les changements d’usage des sols (transformation de la forêt en culture ou zone de pâturage pour les vaches) tout en répondant aux problématiques nutritionnelles et économiques. Pour cela nous mettons en place des techniques d’agroforesterie et de sylvopastoralisme. Au Pérou, nous mélangeons les arbres et le café, au Nicaragua nous développons des banques protéiques et des parcours animaux en forêt et testons l’usage du poids doux comme alternative à l’abattis brûlis, en Colombie nous utilisons le Noyer Maya un arbres aux multiples propriétés. En France, nous tâchons de sensibiliser à « l’empreinte forêt » (l’impact de nos consommation sur la déforestation) grand public et entreprise et pour cela avant m’y en place un questionnaire et développons une méthodologie pour les entreprises.
« Le réchauffement climatique n’est plus un leur, au Nord de la Colombie, nous cherchons déjà les solutions pour vivre avec, pour si adapter. La déforestation a généré l’absence de pluie, nous tachons de replanter pour couvrir les dégâts, mais sans eau c’est un vrai défit auquel nous sommes confrontés », souligne Daisy Tarrier, Présidente d’Envol Vert.