Maintenant que le groupe de bénéficiaires du projet est mieux défini, il est possible de commencer la caractérisation de l’agriculture pratiquée par chaque famille de bénéficiaires.
Ce travail se fait au moyen d’enquêtes individuelles qui nous permettent d’obtenir des informations sur le type d’agriculture qu’exercent les paysans (éleveurs de bétails et/ou cultivateurs). Avec l’aide de ces derniers, nous dessinons leurs parcelles et mettons en avant les éléments principaux qui définissent leurs agricultures (par exemple : une partie réservée au bétail, une autre aux cultures, à la production de poules, etc.).
Par la suite, un travail d’observation au travers de visites des parcelles nous aide à comprendre les problématiques de chaque bénéficiaire et de proposer des solutions adaptées à leurs besoins pour une agriculture raisonnée. Ces solutions doivent être soutenables d’un point de vue environnemental, en améliorant la qualité de l’écosystème tout en conservant son côté productif. Elles doivent aussi être durables d’un point de vue social, en étant formulées et acceptées par les bénéficiaires du projet. Enfin, elles doivent être soutenables d’un point de vue économique en permettant aux agriculteurs de pratiquer une activité rentable.
Ainsi, il a été proposé que chaque famille de paysans puisse développer sur sa parcelle jusqu’à un hectare d’agroforesterie (intégration d’arbres dans les écosystèmes cultivés). L’agroforesterie représente une démarche agroécologique pertinente qui répond aux défis de la sécurité alimentaire et de la transition des modes de production et de consommation face à la crise écologique actuelle.
Prochaine étape : design des espaces d’agroforesterie !
En savoir plus sur le projet restauration forestière et noyer maya
Maintenant que le groupe de bénéficiaires du projet est mieux défini, il est possible de commencer la caractérisation de l’agriculture pratiquée par chaque famille de bénéficiaires.
Ce travail se fait au moyen d’enquêtes individuelles qui nous permettent d’obtenir des informations sur le type d’agriculture qu’exercent les paysans (éleveurs de bétails et/ou cultivateurs). Avec l’aide de ces derniers, nous dessinons leurs parcelles et mettons en avant les éléments principaux qui définissent leurs agricultures (par exemple : une partie réservée au bétail, une autre aux cultures, à la production de poules, etc.).
Par la suite, un travail d’observation au travers de visites des parcelles nous aide à comprendre les problématiques de chaque bénéficiaire et de proposer des solutions adaptées à leurs besoins pour une agriculture raisonnée. Ces solutions doivent être soutenables d’un point de vue environnemental, en améliorant la qualité de l’écosystème tout en conservant son côté productif. Elles doivent aussi être durables d’un point de vue social, en étant formulées et acceptées par les bénéficiaires du projet. Enfin, elles doivent être soutenables d’un point de vue économique en permettant aux agriculteurs de pratiquer une activité rentable.
Ainsi, il a été proposé que chaque famille de paysans puisse développer sur sa parcelle jusqu’à un hectare d’agroforesterie (intégration d’arbres dans les écosystèmes cultivés). L’agroforesterie représente une démarche agroécologique pertinente qui répond aux défis de la sécurité alimentaire et de la transition des modes de production et de consommation face à la crise écologique actuelle.
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