La résilience des sols pourrait être définie comme la capacité d’un sol à retrouver son état naturel après avoir été dégradé. C’est un concept que nous pouvons facilement appliquer aux personnes qui ont été frappées par diverses situations difficiles telles que celles vécues à la campagne colombienne, mais nous croyons fermement à la théorie selon laquelle lorsque des circonstances plus complexes sont vécues, les vertus et la bonté sont renforcées. Une grande affirmation reflétée dans nos communautés rurales résilientes, que même si nous avons encore beaucoup à apprendre, nous continuons à nous battre.
La base de l’économie est directement liée à une ressource très importante, le sol, une ressource naturelle essentielle au maintien de la vie sur terre. Il fournit des nutriments, de l’eau et des minéraux aux plantes, stocke le carbone et abrite des millions d’organismes et de micro-organismes.
Cependant, la quantité de sol fertile diminue à un rythme alarmant en raison de pratiques inadéquates qui ont un impact négatif sur cette ressource, comme l’exploitation forestière, le brûlage, le surpâturage, l’utilisation de produits agrochimiques, l’utilisation inadéquate de machines agricoles, l’exploitation minière, entre autres. Cela compromet la capacité des familles paysannes à produire des aliments pour la population. Un sol fertile sans forêt n’est pas possible, les deux ont besoin l’un de l’autre pour pouvoir fonctionner correctement, c’est pourquoi, dans le cadre du projet, la conservation du sol fait partie de l’un de nos plus. Avec les communautés nous essayons d’en apprendre plus sur sa dynamique et sa fonction. Le travail de terrain, les ateliers et les formations ont renforcé le sentiment d’appartenance à sa protection, les engagements signés entre agriculteurs pour conserver les forêts, la réduction des produits agrochimiques, la réduction des brûlages et l’adaptation des systèmes de production (agroforesterie, sylvopastorale, conservation) renforcent ce sentiment.
Aujourd’hui, dans le cadre du projet mené avec les agriculteurs, ceux-ci produisent déjà des engrais organiques et des préparations biologiques, ce qui leur permet de restituer tous les éléments nutritifs qui ont été extraits du sol par leurs cultures, en commençant à tracer leur propre voie durable qui leur permettra d’avoir un sol résilient.
Petit à petit, nous leur faisons mieux comprendre le rôle de la nature et de ses processus naturels de régénération, ainsi que l’importance de la complémentarité des pratiques productives avec leur environnement.
La résilience des sols pourrait être définie comme la capacité d’un sol à retrouver son état naturel après avoir été dégradé. C’est un concept que nous pouvons facilement appliquer aux personnes qui ont été frappées par diverses situations difficiles telles que celles vécues à la campagne colombienne, mais nous croyons fermement à la théorie selon laquelle lorsque des circonstances plus complexes sont vécues, les vertus et la bonté sont renforcées. Une grande affirmation reflétée dans nos communautés rurales résilientes, que même si nous avons encore beaucoup à apprendre, nous continuons à nous battre.
La base de l’économie est directement liée à une ressource très importante, le sol, une ressource naturelle essentielle au maintien de la vie sur terre. Il fournit des nutriments, de l’eau et des minéraux aux plantes, stocke le carbone et abrite des millions d’organismes et de micro-organismes.
Cependant, la quantité de sol fertile diminue à un rythme alarmant en raison de pratiques inadéquates qui ont un impact négatif sur cette ressource, comme l’exploitation forestière, le brûlage, le surpâturage, l’utilisation de produits agrochimiques, l’utilisation inadéquate de machines agricoles, l’exploitation minière, entre autres. Cela compromet la capacité des familles paysannes à produire des aliments pour la population. Un sol fertile sans forêt n’est pas possible, les deux ont besoin l’un de l’autre pour pouvoir fonctionner correctement, c’est pourquoi, dans le cadre du projet, la conservation du sol fait partie de l’un de nos plus. Avec les communautés nous essayons d’en apprendre plus sur sa dynamique et sa fonction. Le travail de terrain, les ateliers et les formations ont renforcé le sentiment d’appartenance à sa protection, les engagements signés entre agriculteurs pour conserver les forêts, la réduction des produits agrochimiques, la réduction des brûlages et l’adaptation des systèmes de production (agroforesterie, sylvopastorale, conservation) renforcent ce sentiment.
Aujourd’hui, dans le cadre du projet mené avec les agriculteurs, ceux-ci produisent déjà des engrais organiques et des préparations biologiques, ce qui leur permet de restituer tous les éléments nutritifs qui ont été extraits du sol par leurs cultures, en commençant à tracer leur propre voie durable qui leur permettra d’avoir un sol résilient.
Petit à petit, nous leur faisons mieux comprendre le rôle de la nature et de ses processus naturels de régénération, ainsi que l’importance de la complémentarité des pratiques productives avec leur environnement.