En Amazonie péruvienne, le brûlage des cultures est une pratique commune qui se perpétue encore et toujours dans certaines zones, particulièrement pendant les périodes de plantation et de récolte. Les agriculteurs ont l’habitude de brûler les cultures pour “laver” le terrain et le préparer pour la plantation. Bien que cette technique puisse se révéler efficace, ses consequences sus l’environnement et la santé sont dramatiques.
Cette technique engendre l’émission d’importantes quantités de gaz à effets de serre (ce qui contribue au dérèglement climatique) et d’autres gaz qui polluent et dégradent l’air que nous respirons. Cette pratique peut également provoquer la perte de nutriments dans le sol et une diminution notable de la biodiversité.
Le cadre légal péruvien pour empêcher le brûlage des cultures
Au Pérou, cette pratique est régulée par plusieurs lois visant à protéger l’environnement. Le droit à un environnement sain et équilibré ainsi que le devoir de l’Etat de protéger la diversité et l’intégrité de l’environnement sont inscrits respectivement dans les articles 2 et 67 de la Constitution péruvienne. De son côté, dans les articles 18 et 19, la Loi sur la forêt et la faune sauvage (Loi N 29763) interdit le brûlage des forêts, les prairies et autres types de végétation comme les résidus agricoles et forestiers sans l’autorisation préalable du SERFOR. Toujours dans ce sens, le Code Pénal péruvien considère comme un délit le brûlage de terrains sans autorisation dans l’article 307, et le MINAGRI promeut les pratiques agricoles durables pour empêcher le brûlage des cultures à travers différents programmes et initiatives.
Quels sont les moyens de combattre le brûlage des cultures?
Le contrôle du brûlage des cultures au Pérou est un défi complexe qui demande la coopération et l’engagement de nombreux acteurs, don’t les agriculteurs, les autorités gouvernementales, les ONG, les entreprises privées et la société de manière générale. Cependant, il existe plusieurs stratégies pour aborder ce problème :
Quelles seraient les conséquences du maintien des pratiques de brûlage des cultures?
Si on continue à brûler les cultures au Pérou, cela pourrait affecter négativement l’environnement, en abîmant les sols, en réduisant la variété de plantes et d’animaux et et contribuant au dérèglement climatique. De plus, cela peut augmenter le risque de feux de forêt qui peuvent détruire des vies, des foyers et affecter la faune et la flore des écosystèmes. Le brûlage de culture peut également diminuer la productivité agricole et avoir un effet sur la sécurité alimentaire. C’est pourquoi il est important d’adopter des pratiques agricoles durables pour prendre soin de l’environnement et de nos communautés.
Les actions menées par Envol Vert contre le brûlage des cultures
Envol Vert Pérou promeut des pratiques agricoles durables et se bat contre le brûlage des cultures en créant des systèmes agroforestiers et en formant aux techniques d’agriculture régénératrice et de gestion des sols. Nous travaillons conjointement avec les communautés et les autorités pour générer une prise de conscience sur les impacts négatifs du brûlage et soutenir des alternatives économiques durables. De plus, nous apportons une assistance technique pour améliorer la productivité et la rentabilité des cultures sans endomager l’environnement.
Concrètement, nous avons mis en place une activité ludique et éducative qui cherche à sensibiliser les agriculteurs sur les risques et les dommages générés par le brûlage de cultures. Au sein de cette activité, nos participants ont pu prendre part à un petit théatre où a été mise en scène l’histoire d’un agriculteur sur le point de brûler ses cultures. Pendant la pièce, le voisin de l’agriculteur partage son expérience personelle sur les dangers de cette pratique, dont la dégradation des sols, la réduction de la biodiversité et les émissions de gaz à effet de serre. La pièce inclut d’autres personnages par la suite, comme les autorités locales ou les représentants d’organisations promouvant des techniques agricoles durables et des alternatives au brûlage des cultures.
Conclusion
Bien que ce soit interdit de brûler les cultures selon la Loi sur la Forêt et la Faune sauvage, cela n’est pas toujours respecté, du fait du manque de moyens des institutions chargées de superviser et de sanctionner cette pratique. De plus, les institutions chargées de cette supervision sont nombreuses, ce qui entraîne un manque de coordination. Un autre point important est celui du manque d’alternatives économiques pour les agriculteurs, qui ne sont pas toujours conscients des risques pour l’environnement et pour la santé associés aux brûlage de cultures. Il est important de travailler ensemble pour trouver des solutions aidant les agriculteurs à mettre en place des pratiques agricoles plus durables et mettre fin au brûlage des cultures.
En Amazonie péruvienne, le brûlage des cultures est une pratique commune qui se perpétue encore et toujours dans certaines zones, particulièrement pendant les périodes de plantation et de récolte. Les agriculteurs ont l’habitude de brûler les cultures pour “laver” le terrain et le préparer pour la plantation. Bien que cette technique puisse se révéler efficace, ses consequences sus l’environnement et la santé sont dramatiques.
Cette technique engendre l’émission d’importantes quantités de gaz à effets de serre (ce qui contribue au dérèglement climatique) et d’autres gaz qui polluent et dégradent l’air que nous respirons. Cette pratique peut également provoquer la perte de nutriments dans le sol et une diminution notable de la biodiversité.
Le cadre légal péruvien pour empêcher le brûlage des cultures
Au Pérou, cette pratique est régulée par plusieurs lois visant à protéger l’environnement. Le droit à un environnement sain et équilibré ainsi que le devoir de l’Etat de protéger la diversité et l’intégrité de l’environnement sont inscrits respectivement dans les articles 2 et 67 de la Constitution péruvienne. De son côté, dans les articles 18 et 19, la Loi sur la forêt et la faune sauvage (Loi N 29763) interdit le brûlage des forêts, les prairies et autres types de végétation comme les résidus agricoles et forestiers sans l’autorisation préalable du SERFOR. Toujours dans ce sens, le Code Pénal péruvien considère comme un délit le brûlage de terrains sans autorisation dans l’article 307, et le MINAGRI promeut les pratiques agricoles durables pour empêcher le brûlage des cultures à travers différents programmes et initiatives.
Quels sont les moyens de combattre le brûlage des cultures?
Le contrôle du brûlage des cultures au Pérou est un défi complexe qui demande la coopération et l’engagement de nombreux acteurs, don’t les agriculteurs, les autorités gouvernementales, les ONG, les entreprises privées et la société de manière générale. Cependant, il existe plusieurs stratégies pour aborder ce problème :
Quelles seraient les conséquences du maintien des pratiques de brûlage des cultures?
Si on continue à brûler les cultures au Pérou, cela pourrait affecter négativement l’environnement, en abîmant les sols, en réduisant la variété de plantes et d’animaux et et contribuant au dérèglement climatique. De plus, cela peut augmenter le risque de feux de forêt qui peuvent détruire des vies, des foyers et affecter la faune et la flore des écosystèmes. Le brûlage de culture peut également diminuer la productivité agricole et avoir un effet sur la sécurité alimentaire. C’est pourquoi il est important d’adopter des pratiques agricoles durables pour prendre soin de l’environnement et de nos communautés.
Les actions menées par Envol Vert contre le brûlage des cultures
Envol Vert Pérou promeut des pratiques agricoles durables et se bat contre le brûlage des cultures en créant des systèmes agroforestiers et en formant aux techniques d’agriculture régénératrice et de gestion des sols. Nous travaillons conjointement avec les communautés et les autorités pour générer une prise de conscience sur les impacts négatifs du brûlage et soutenir des alternatives économiques durables. De plus, nous apportons une assistance technique pour améliorer la productivité et la rentabilité des cultures sans endomager l’environnement.
Concrètement, nous avons mis en place une activité ludique et éducative qui cherche à sensibiliser les agriculteurs sur les risques et les dommages générés par le brûlage de cultures. Au sein de cette activité, nos participants ont pu prendre part à un petit théatre où a été mise en scène l’histoire d’un agriculteur sur le point de brûler ses cultures. Pendant la pièce, le voisin de l’agriculteur partage son expérience personelle sur les dangers de cette pratique, dont la dégradation des sols, la réduction de la biodiversité et les émissions de gaz à effet de serre. La pièce inclut d’autres personnages par la suite, comme les autorités locales ou les représentants d’organisations promouvant des techniques agricoles durables et des alternatives au brûlage des cultures.
Conclusion
Bien que ce soit interdit de brûler les cultures selon la Loi sur la Forêt et la Faune sauvage, cela n’est pas toujours respecté, du fait du manque de moyens des institutions chargées de superviser et de sanctionner cette pratique. De plus, les institutions chargées de cette supervision sont nombreuses, ce qui entraîne un manque de coordination. Un autre point important est celui du manque d’alternatives économiques pour les agriculteurs, qui ne sont pas toujours conscients des risques pour l’environnement et pour la santé associés aux brûlage de cultures. Il est important de travailler ensemble pour trouver des solutions aidant les agriculteurs à mettre en place des pratiques agricoles plus durables et mettre fin au brûlage des cultures.