Sans aucun doute, nos choix à table ont une série de conséquences pour l’environnement, car derrière toute assiette il y a divers processus dont l’origine est dans le sol.
L’industrialisation de l’alimentation
L’industrialisation de la production alimentaire a transformé la planète et notre façon de manger. Elle a des conséquences directes sur la santé de l’Homme et l’environnement. Bien que nous soyons nombreux à ressentir ou connaître ces effets, il semblerait que le lien entre ce que nous mangeons et la provenance de ces aliments se perd. En ville, nous savons peu de choses sur les plantes qui nous nourrissent, ainsi que ceux qui les produisent. Pourtant, nous sommes indissociables de la nature, peu importe la distance qui nous sépare d’elle.
La cuisine est l’un des moyens les plus agréables pour revitaliser ce lien avec la terre. La nourriture éveille les sens et apporte de l’énergie, des nutriments ; c’est un moyen pour nous connecter à nouveau avec les délices qui poussent dans les champs. Certains chefs cuisiniers comprennent le lien entre des ingrédients de qualité et la protection des écosystèmes et leurs habitants. Ils s’inspirent de cette expérience et reconnaissent la qualité de l’aliment naturel et sain qu’est le Guaimaro. L’idée est de mettre en valeur différentes régions et l’originalité de leurs produits.
En Colombie il existe une grande diversité d’aliments, certains à découvrir, d’autres oubliés ou rejetés, d’autres surexploités. Tant les industriels comme les foyers, tous font partie de cette dynamique ; ce que l’on aime manger le plus est ce que l’on produit le plus. Mais qu’adviendrait-il si l’on oubliait que l’on adore la soupe faite maison ?
Conserver la diversité culinaire
En cuisine on constate une certaine préoccupation pour remédier à l’oubli d’aliments. Il existe une véritable volonté de conserver la diversité de produits régionaux de qualité à l’heure de passer à table. Dans le monde gastronomique on perçoit une tendance à donner de nouveau de l’importance au produit local et de proximité. Ces mots ont une grande résonance sur Instagram et rendent plus visibles ces aliments uniques sur nos tables. En les observant de plus près, on s’aperçoit que ces aliments parlent d’une culture, de notre environnement et d’une histoire qui est aussi la nôtre. Les convives ont également une place importante dans ce cheminement, il est essentiel qu’ils soient ouverts d’esprits, sensibles et disposés à sortir de leur zone de confort gustatif afin de goûter à la diversité et valoriser les territoires d’origine de l’aliment.
Les forêts, les mers, les rivières, les fruits, les graines, les animaux, les racines, les fleurs et autres merveilles locales se définissent également à travers de leurs arômes, textures et saveurs.
Sans aucun doute, nos choix à table ont une série de conséquences pour l’environnement, car derrière toute assiette il y a divers processus dont l’origine est dans le sol.
L’industrialisation de l’alimentation
L’industrialisation de la production alimentaire a transformé la planète et notre façon de manger. Elle a des conséquences directes sur la santé de l’Homme et l’environnement. Bien que nous soyons nombreux à ressentir ou connaître ces effets, il semblerait que le lien entre ce que nous mangeons et la provenance de ces aliments se perd. En ville, nous savons peu de choses sur les plantes qui nous nourrissent, ainsi que ceux qui les produisent. Pourtant, nous sommes indissociables de la nature, peu importe la distance qui nous sépare d’elle.
La cuisine est l’un des moyens les plus agréables pour revitaliser ce lien avec la terre. La nourriture éveille les sens et apporte de l’énergie, des nutriments ; c’est un moyen pour nous connecter à nouveau avec les délices qui poussent dans les champs. Certains chefs cuisiniers comprennent le lien entre des ingrédients de qualité et la protection des écosystèmes et leurs habitants. Ils s’inspirent de cette expérience et reconnaissent la qualité de l’aliment naturel et sain qu’est le Guaimaro. L’idée est de mettre en valeur différentes régions et l’originalité de leurs produits.
En Colombie il existe une grande diversité d’aliments, certains à découvrir, d’autres oubliés ou rejetés, d’autres surexploités. Tant les industriels comme les foyers, tous font partie de cette dynamique ; ce que l’on aime manger le plus est ce que l’on produit le plus. Mais qu’adviendrait-il si l’on oubliait que l’on adore la soupe faite maison ?
Conserver la diversité culinaire
En cuisine on constate une certaine préoccupation pour remédier à l’oubli d’aliments. Il existe une véritable volonté de conserver la diversité de produits régionaux de qualité à l’heure de passer à table. Dans le monde gastronomique on perçoit une tendance à donner de nouveau de l’importance au produit local et de proximité. Ces mots ont une grande résonance sur Instagram et rendent plus visibles ces aliments uniques sur nos tables. En les observant de plus près, on s’aperçoit que ces aliments parlent d’une culture, de notre environnement et d’une histoire qui est aussi la nôtre. Les convives ont également une place importante dans ce cheminement, il est essentiel qu’ils soient ouverts d’esprits, sensibles et disposés à sortir de leur zone de confort gustatif afin de goûter à la diversité et valoriser les territoires d’origine de l’aliment.
Les forêts, les mers, les rivières, les fruits, les graines, les animaux, les racines, les fleurs et autres merveilles locales se définissent également à travers de leurs arômes, textures et saveurs.