Alors que la forêt se pare tranquillement de couleurs automnales, nous continuons les visites et diagnostics chez les propriétaires forestiers.
Pluie inespérée et rencontre fortuite avec un sanglier viennent ponctuer les inventaires de biodiversité potentielle et les comptages au relascope.
Une visite à Vabre nous donne l’occasion d’échanger avec un propriétaire motivé pour proposer des ateliers pour la fête du bois et de la forêt. Ses parcelles sont aujourd’hui le terrain de jeux d’enfants, lesquels s’invitent à notre visite, après une escalade rapide sur les pentes escarpées du lieu. Toujours dans le secteur, la grande propriété de Max nous offre de superbes paysages sur la vallée du Gijou. Mais l’étendue de ses forêts est telle qu’il faudra revenir, l’après-midi ne suffira pas à tout analyser. Particulièrement intéressé par le fonctionnement des écosystèmes qui l’entourent, Max sera d’ailleurs présent lors de notre première formation à la sylviculture à couvert continu !
Plus en plaine, un diagnostic de la forêt de Nathalie confirme les dégâts des coupes rases : un morceau de son terrain en a fait les frais il y a une cinquantaine d’année, mais depuis, seuls les genêts peuplent cette partie de la parcelle. Du reste, taillis de châtaigniers, ancienne plantation de résineux (pins sylvestres et maritimes) ou encore ripisylves ont accueilli le premier diagnostic de Pauline, arrivée en service civique en octobre. Également participante du projet d’Envol Vert Au Près de Mes Arbres, Nathalie a par ailleurs accepté d’accueillir des collégiens de Lautrec, le temps d’une après-midi, dans le cadre de nos actions de sensibilisation.
Non loin de là, alternant prairies, ravins et forêts, les alentours d’une ferme familiale s’avèrent d’une grande richesse, laissant entrevoir de grands potentiels sylvicoles. Ici aussi, conditions météorologiques et vaste propriété nécessitent plusieurs demi-journées pour parvenir à un diagnostic complet. Enfin, accompagné·es par le chien de la ferme collective des Zazous, nous avons pu analyser chênaies et châtaigneraies des forêts bordant les champs où paissent paisiblement les vaches de l’exploitation.
Alors que la forêt se pare tranquillement de couleurs automnales, nous continuons les visites et diagnostics chez les propriétaires forestiers.
Pluie inespérée et rencontre fortuite avec un sanglier viennent ponctuer les inventaires de biodiversité potentielle et les comptages au relascope.
Une visite à Vabre nous donne l’occasion d’échanger avec un propriétaire motivé pour proposer des ateliers pour la fête du bois et de la forêt. Ses parcelles sont aujourd’hui le terrain de jeux d’enfants, lesquels s’invitent à notre visite, après une escalade rapide sur les pentes escarpées du lieu. Toujours dans le secteur, la grande propriété de Max nous offre de superbes paysages sur la vallée du Gijou. Mais l’étendue de ses forêts est telle qu’il faudra revenir, l’après-midi ne suffira pas à tout analyser. Particulièrement intéressé par le fonctionnement des écosystèmes qui l’entourent, Max sera d’ailleurs présent lors de notre première formation à la sylviculture à couvert continu !
Plus en plaine, un diagnostic de la forêt de Nathalie confirme les dégâts des coupes rases : un morceau de son terrain en a fait les frais il y a une cinquantaine d’année, mais depuis, seuls les genêts peuplent cette partie de la parcelle. Du reste, taillis de châtaigniers, ancienne plantation de résineux (pins sylvestres et maritimes) ou encore ripisylves ont accueilli le premier diagnostic de Pauline, arrivée en service civique en octobre. Également participante du projet d’Envol Vert Au Près de Mes Arbres, Nathalie a par ailleurs accepté d’accueillir des collégiens de Lautrec, le temps d’une après-midi, dans le cadre de nos actions de sensibilisation.
Non loin de là, alternant prairies, ravins et forêts, les alentours d’une ferme familiale s’avèrent d’une grande richesse, laissant entrevoir de grands potentiels sylvicoles. Ici aussi, conditions météorologiques et vaste propriété nécessitent plusieurs demi-journées pour parvenir à un diagnostic complet. Enfin, accompagné·es par le chien de la ferme collective des Zazous, nous avons pu analyser chênaies et châtaigneraies des forêts bordant les champs où paissent paisiblement les vaches de l’exploitation.