Mercredi 23 novembre s’est tenue la première formation à la sylviculture à couvert continu à destination des propriétaires forestiers, dans la Montagne Noire, à deux pas du lac des Montagnes.
Alors que la pluie et le vent frappent les carreaux du gîte où se trouvent la dizaine de participant·es , Nicolas expose les grands principes de fonctionnement des écosystèmes forestiers. La cafetière ronronne et l’écoute studieuse est tout de même ponctuée de questions et de débats. Et pour cause ! Entre les notions de vie du sol, les grands principes de la sylviculture à couvert continu, et la découverte de l’ensemble des acteur·rices de la filière bois, il y a pléthore de notions à appréhender. Les participant·es, autant novices qu’expérimenté·es, partagent aussi leurs savoirs et leurs interrogations quant à leur projet.
Les échanges continuent autour d’une belle tablée, l’auberge espagnole apportant sa traditionnelle convivialité.
Sous un ciel un peu plus apaisé, la joyeuse troupe se met en route pour les forêts de Didier, sylviculteur aguerri. Si l’accalmie n’est que de courte durée, l’excursion n’en est pas moins passionnante. Didier partage avec chaleur son travail, mais aussi ses inquiétudes quant à la mutation de son métier et au changement climatique en cours. Obligé d’abattre bon nombre de ces épicéas scolytés, il se refuse à la moindre coupe rase, qui pourtant fleurit dans les parcelles voisines. Cette visite est l’occasion d’échanges à la fois très pratiques de gestion économique mais aussi la démonstration d’une gestion sylvicole vivante et rémunératrice. Sous les châtaigniers, chacun·e s’essaye au calcul de surface terrière à l’aide d’un relascope.
Les frênes filtrent les lumières de la fin d’après-midi, quand déjà le groupe s’achemine vers la fin de la visite. C’est sous une plantation de douglas en cours d’irrégularisation, dont certains atteignent des diamètres pour le moins impressionnants, qu’une violente averse cueille l’équipée et signe la fin de la journée.
Dense mais instructive, la journée laisse les participant·es enthousiastes malgré l’humidité, avides d’approfondir leurs connaissances.
Mercredi 23 novembre s’est tenue la première formation à la sylviculture à couvert continu à destination des propriétaires forestiers, dans la Montagne Noire, à deux pas du lac des Montagnes.
Alors que la pluie et le vent frappent les carreaux du gîte où se trouvent la dizaine de participant·es , Nicolas expose les grands principes de fonctionnement des écosystèmes forestiers. La cafetière ronronne et l’écoute studieuse est tout de même ponctuée de questions et de débats. Et pour cause ! Entre les notions de vie du sol, les grands principes de la sylviculture à couvert continu, et la découverte de l’ensemble des acteur·rices de la filière bois, il y a pléthore de notions à appréhender. Les participant·es, autant novices qu’expérimenté·es, partagent aussi leurs savoirs et leurs interrogations quant à leur projet.
Les échanges continuent autour d’une belle tablée, l’auberge espagnole apportant sa traditionnelle convivialité.
Sous un ciel un peu plus apaisé, la joyeuse troupe se met en route pour les forêts de Didier, sylviculteur aguerri. Si l’accalmie n’est que de courte durée, l’excursion n’en est pas moins passionnante. Didier partage avec chaleur son travail, mais aussi ses inquiétudes quant à la mutation de son métier et au changement climatique en cours. Obligé d’abattre bon nombre de ces épicéas scolytés, il se refuse à la moindre coupe rase, qui pourtant fleurit dans les parcelles voisines. Cette visite est l’occasion d’échanges à la fois très pratiques de gestion économique mais aussi la démonstration d’une gestion sylvicole vivante et rémunératrice. Sous les châtaigniers, chacun·e s’essaye au calcul de surface terrière à l’aide d’un relascope.
Les frênes filtrent les lumières de la fin d’après-midi, quand déjà le groupe s’achemine vers la fin de la visite. C’est sous une plantation de douglas en cours d’irrégularisation, dont certains atteignent des diamètres pour le moins impressionnants, qu’une violente averse cueille l’équipée et signe la fin de la journée.
Dense mais instructive, la journée laisse les participant·es enthousiastes malgré l’humidité, avides d’approfondir leurs connaissances.