Décembre 2015
Les systèmes d’Inga alley cropping s’installent
L’installation des haies d’inga dans les parcelles a été initiée par 9 familles sur 11. La plus conséquente se voit déjà parée de 666 plants d’une trentaine de centimètres en moyenne. Pour une fois, on va faire que le nombre du diable se voit porteur d’alternatives à une agriculture destructrice et inspire de bonnes pratiques agricoles pour la terre comme pour les hommes. Et pour aller dans cette voie, déjà plus de 2200 plants d’inga edulis ont été plantés ainsi que bien d’autres espèces dans les systèmes que l’on continue de promouvoir à Bartola. Les clôtures continuent de s’établir avec des haies vives, de nouvelles Pastura en Callejones sont mises en place et la rénovation ou l’instauration de banques protéiques suit son chemin.
Le partage d’information s’intensifie avec l’organisation de 2 écoles d’agro-écologie par la Fondation Del Rio, le partenaire local, ainsi que d’un échange « visiter la ferme de son voisin » lors duquel les membres de la communauté étaient invités à découvrir les pratiques innovantes et la gestion de ces techniques dans deux fermes membre du projet. Également, une journée découverte sur les techniques de greffes a été organisée.
Octobre 2015
Les graines arrivent et une nouvelle famille aussi !
Le projet suit son cours avec l’implémentation en pépinière de 5200 graines d’Inga Edulis pour établir le système « d’Inga alley cropping ». Les familles sont impatientes de cultiver leurs fruits et légumes au milieu de ces haies d’Inga et planifient déjà les différentes plantes qu’ils souhaitent voir dans ces jardins « soutenables » ! Que ce soit pour des cultures vivrières et/ou de rentes pour dégager un revenu, toutes et tous souhaitent prendre part au développement de cette technique d’agriculture alternative et durable. Les premières lignes d’Inga ont d’ailleurs été plantées chez deux familles grâce aux plants issus des deux premiers arrivages de graines il y a quelques mois.
Le projet accueille également une nouvelle famille qui souhaite elle aussi mettre en place ce système de culture et les autres aspects du projet. Des perspectives intéressantes avec cette nouvelle ferme qui avait déjà intégré les haies vives et d’autres techniques agro-écologiques à son système agricole.
Les clôtures en haies vives continuent de s’établir dans les différentes fermes, que ça soit pour accueillir les parcelles d’Inga ou de Pastura en callejones, parcelles plantées d’espèces fourragères herbacées en association avec des arbres légumineuses dont le feuillage peut-être également utilisé comme fourrage.
Septembre 2015
Un nouveau volontaire pour la suite…
Moi, c’est Loric, le nouveau volontaire du projet. J’ai 22 ans et suit actuellement en année de césure pour découvrir les facettes de différents projets alternatifs dans les pays tropicaux. J’étudie le développement agricole et rural dans les pays du Sud au sein de l’institut des régions chaudes, rattaché à Montpellier SupAgro, une école d’ingénieur agronome. Je vais effectuer un séjour de 4 mois plongé dans la communauté pour continuer le travail entrepris par mes prédécesseurs. Je découvre depuis début septembre la vie avec ces personnes qui mènent une existence simple, au contact de la nature. Entre chasse et pêche, élevage et cultures, ces gens assurent leurs besoins et une qualité de vie suffisante. En travaillant sur la mise en place des systèmes d’association entre cultures et arbres légumineuses aux multiples intérêts agronomiques (fertilisation naturelle des sols, contrôle des adventices, fourrage pour le bétail), sur la conservation des espaces existants grâce à des techniques alternatives en agroforesterie comme le reboisement des cours d’eau et des zones de pâtures pour lutter contre l’érosion ou pour assurer des ressources forestières à long-terme pour la construction, l’élevage et les produits non-ligneux comme les fruits, je vais essayer de maintenir, dans la lignée des actions d’Envol Vert, cette vie simple et respectueuse de la nature en l’inscrivant dans un processus d’amélioration écologique durable pour que les enfants d’aujourd’hui soient les agriculteurs de demain et que les éclats de rire continuent à raisonner pendant longtemps sur les rives de la rivière Bartola.
Juillet 2015
Visite de la présidente d’Envol Vert
Au cours du mois de juillet, la présidente d’Envol vert, Daisy Tarrier, nous a rendu visite à Bartola. Cela a été l’occasion de visiter chaque ferme bénéficiaire du projet afin de voir les changements opérés dans chacune d’entres elles.
sylvopastoralisme -plantationNous avons profité de sa venue pour clarifier le rôle et le champ d’action de chaque organisation dans le projet. Il a également été décidé d’élire un comité au sein de la Coopérative de tourisme durable de Bartola (CTSB) compose de trois membres : un responsable projet (qui aura pour rôle de superviser les avancées dans chaque ferme, le respect des compromis de chacun, le bon usage du matériel…), un gestionnaire des pépinières collectives (qui sera chargé d’organiser les tours d’entretien de ces dernières, d’organiser des jours de collecte de graines ou de plants…) et enfin un responsable matériel (qui aura la responsabilité d’acheter, distribuer, garder le matériel…) De cette manière, les bénéficiaires du projet, au travers la CTSB, seront encore plus investit dans le déroulement et le suivi du projet sur place.
Cette dernière proposition a été reçue avec enthousiasme et motivation par tous les membres. Cela est très motivant pour l’avenir et le suivi de ce projet.
Juin 2015
Les évolutions du projet vont être suivies dans le temps
Au cours de ces derniers mois, un travail de cartographie a également été entamé. Ce travail est maintenant terminé et nous avons même commencé à utiliser et initier les bénéficiaires a l’utilisation de ces cartes.
Le but de ces cartes est d’avoir une vision plus large de tous les changements opérés dans chacune des fermes dans le temps. Ceci est utile à la fois pour les propriétaires mais également pour les volontaires. Ainsi chaque nouveau volontaire pourra mieux se rendre compte des dernières actions réalisées par les précédents.
L’idée était d’établir les cartes de chaque ferme du projet « a l’état 0 ». Puis grâce à la constitution d’une méthodologie simplifiée que chaque bénéficiaire puisse au moins une fois par an, pointer sur leur carte toutes les avancées effectuées. Les évolutions seront d’autant plus visibles qu’une couleur différente sera utilisée chaque année.
Mai 2015
Voyage au Honduras, à la découverte de l’Inga Cropping
Du 18 au 23 mai a eu lieu un voyage au Honduras pour découvrir différents systèmes agroforestiers. Plusieurs agriculteurs de la communauté de Bartola ont ainsi pu visiter le CEDEC (Centro Experimental y Demostrativo de Cacao), le CADETH (Centro Agroforestal Demostrativo del Trópico Húmedo), ainsi qu’une ferme expérimentale pratiquant l’Inga Cropping.
L’Inga Cropping, qui repose sur l’association entre l’Inga edulis et différentes cultures (maïs, haricots, malanga, ananas …), permet de cultiver avec un bon rendement malgré des sols initialement très pauvres. En effet, l’Inga est un arbre avec de nombreux avantages : il permet la fixation d’azote dans le sol et son approvisionnement en matière organique, possède un recyclage très efficace des nutriments et permet un contrôle des mauvaises herbes. L’Inga Cropping est ainsi un système qui pourrait remplacer la culture sur brûlis, une des causes de la déforestation dans la communauté de Bartola.
La ferme visitait existe depuis trois ans seulement, et la productivité du système est impressionnante. Les agriculteurs sont repartis très enthousiastes de cette visite, et plusieurs d’entre eux sont d’accord pour mettre en place des parcelles expérimentales de ce système dans leurs fermes, afin de tester sa viabilité dans la communauté.
Avril 2015
Des boutures collectées pour initier les parcelles sylvopastorales
Une grande partie du travail récent a été de collecter le matériel végétal nécessaire à la mise en place de système de sylvopastoralisme durable (association de rangées d’arbres fourragers avec des pâturages à haute teneur nutritive). Des arbres qui serviront aussi d’apport d’ombre pour le bétail, de stabilisation des sols et pour ses valeurs qualitatives de bois d’œuvre. Pour l’instant plus de 600 boutures ont été récoltées. Ces boutures servent aussi à initier la mise en place haies vies pour délimiter les parcelles de sylvopastoralisme.
Les bénévoles ont aussi commencé à accompagner les agriculteurs dans la parcellisation de leur exploitation, le choix des parcelles et des espèces à planter. C’est un lourd travail préliminaire et d’ici quelques semaines, de nouvelles parcelles agroforestières verront le jour.
Mars 2015
L’organisation d’un travail communautaire se met en place
Depuis mars, Faustine et Marie, deux étudiantes ingénieur en agronomie et foresterie ont rejoint la communauté de Bartola.
Les bénévoles ont un rôle de dynamisation et d’échanges entre les bénéficiaires du projet. Ceci est important pour partager les ressources et l’expérience de chacun. Un échange avec tous les bénéficiaires leur permettent de communiquer et de s’organiser par eux-mêmes grâce à des réunions régulières d’information et le partage de calendriers de travail consultables par tous.
C’est un travail de suivi à long terme que fournissent ces bénévoles. Une cartographie des exploitations impliquées dans le projet est en cours et elles ont également eu l’occasion de nettoyer et redynamiser les pépinières. Mais la plus grande partie de leur travail est encore de commencer la mise en place des systèmes sylvopastoraux.
De nouveaux financements
En février nous apprenions que le projet Sylvopastoralisme au Nicaragua était retenu pour l’appel de fonds de l’Agence des Micro Projets. Une belle nouvelle et un beau soulagement pour pouvoir aller de l’avant dans le projet.
Comme une bonne nouvelle n’arrive pas seule, en mars la Présidente, Daisy Tarrier, recevait le prix Terre de Femmes de la Fondation Yves Rocher, pour son action environnementale. Un prix pour lequel la dotation ira au projet Sylvopastoralisme pour compléter les financements nécessaires.
En savoir plus sur le prix Terre de Femmes
Décembre 2015
Les systèmes d’Inga alley cropping s’installent
L’installation des haies d’inga dans les parcelles a été initiée par 9 familles sur 11. La plus conséquente se voit déjà parée de 666 plants d’une trentaine de centimètres en moyenne. Pour une fois, on va faire que le nombre du diable se voit porteur d’alternatives à une agriculture destructrice et inspire de bonnes pratiques agricoles pour la terre comme pour les hommes. Et pour aller dans cette voie, déjà plus de 2200 plants d’inga edulis ont été plantés ainsi que bien d’autres espèces dans les systèmes que l’on continue de promouvoir à Bartola. Les clôtures continuent de s’établir avec des haies vives, de nouvelles Pastura en Callejones sont mises en place et la rénovation ou l’instauration de banques protéiques suit son chemin.
Le partage d’information s’intensifie avec l’organisation de 2 écoles d’agro-écologie par la Fondation Del Rio, le partenaire local, ainsi que d’un échange « visiter la ferme de son voisin » lors duquel les membres de la communauté étaient invités à découvrir les pratiques innovantes et la gestion de ces techniques dans deux fermes membre du projet. Également, une journée découverte sur les techniques de greffes a été organisée.
Octobre 2015
Les graines arrivent et une nouvelle famille aussi !
Le projet suit son cours avec l’implémentation en pépinière de 5200 graines d’Inga Edulis pour établir le système « d’Inga alley cropping ». Les familles sont impatientes de cultiver leurs fruits et légumes au milieu de ces haies d’Inga et planifient déjà les différentes plantes qu’ils souhaitent voir dans ces jardins « soutenables » ! Que ce soit pour des cultures vivrières et/ou de rentes pour dégager un revenu, toutes et tous souhaitent prendre part au développement de cette technique d’agriculture alternative et durable. Les premières lignes d’Inga ont d’ailleurs été plantées chez deux familles grâce aux plants issus des deux premiers arrivages de graines il y a quelques mois.
Le projet accueille également une nouvelle famille qui souhaite elle aussi mettre en place ce système de culture et les autres aspects du projet. Des perspectives intéressantes avec cette nouvelle ferme qui avait déjà intégré les haies vives et d’autres techniques agro-écologiques à son système agricole.
Les clôtures en haies vives continuent de s’établir dans les différentes fermes, que ça soit pour accueillir les parcelles d’Inga ou de Pastura en callejones, parcelles plantées d’espèces fourragères herbacées en association avec des arbres légumineuses dont le feuillage peut-être également utilisé comme fourrage.
Septembre 2015
Un nouveau volontaire pour la suite…
Moi, c’est Loric, le nouveau volontaire du projet. J’ai 22 ans et suit actuellement en année de césure pour découvrir les facettes de différents projets alternatifs dans les pays tropicaux. J’étudie le développement agricole et rural dans les pays du Sud au sein de l’institut des régions chaudes, rattaché à Montpellier SupAgro, une école d’ingénieur agronome. Je vais effectuer un séjour de 4 mois plongé dans la communauté pour continuer le travail entrepris par mes prédécesseurs. Je découvre depuis début septembre la vie avec ces personnes qui mènent une existence simple, au contact de la nature. Entre chasse et pêche, élevage et cultures, ces gens assurent leurs besoins et une qualité de vie suffisante. En travaillant sur la mise en place des systèmes d’association entre cultures et arbres légumineuses aux multiples intérêts agronomiques (fertilisation naturelle des sols, contrôle des adventices, fourrage pour le bétail), sur la conservation des espaces existants grâce à des techniques alternatives en agroforesterie comme le reboisement des cours d’eau et des zones de pâtures pour lutter contre l’érosion ou pour assurer des ressources forestières à long-terme pour la construction, l’élevage et les produits non-ligneux comme les fruits, je vais essayer de maintenir, dans la lignée des actions d’Envol Vert, cette vie simple et respectueuse de la nature en l’inscrivant dans un processus d’amélioration écologique durable pour que les enfants d’aujourd’hui soient les agriculteurs de demain et que les éclats de rire continuent à raisonner pendant longtemps sur les rives de la rivière Bartola.
Juillet 2015
Visite de la présidente d’Envol Vert
Au cours du mois de juillet, la présidente d’Envol vert, Daisy Tarrier, nous a rendu visite à Bartola. Cela a été l’occasion de visiter chaque ferme bénéficiaire du projet afin de voir les changements opérés dans chacune d’entres elles.
sylvopastoralisme -plantationNous avons profité de sa venue pour clarifier le rôle et le champ d’action de chaque organisation dans le projet. Il a également été décidé d’élire un comité au sein de la Coopérative de tourisme durable de Bartola (CTSB) compose de trois membres : un responsable projet (qui aura pour rôle de superviser les avancées dans chaque ferme, le respect des compromis de chacun, le bon usage du matériel…), un gestionnaire des pépinières collectives (qui sera chargé d’organiser les tours d’entretien de ces dernières, d’organiser des jours de collecte de graines ou de plants…) et enfin un responsable matériel (qui aura la responsabilité d’acheter, distribuer, garder le matériel…) De cette manière, les bénéficiaires du projet, au travers la CTSB, seront encore plus investit dans le déroulement et le suivi du projet sur place.
Cette dernière proposition a été reçue avec enthousiasme et motivation par tous les membres. Cela est très motivant pour l’avenir et le suivi de ce projet.
Juin 2015
Les évolutions du projet vont être suivies dans le temps
Au cours de ces derniers mois, un travail de cartographie a également été entamé. Ce travail est maintenant terminé et nous avons même commencé à utiliser et initier les bénéficiaires a l’utilisation de ces cartes.
Le but de ces cartes est d’avoir une vision plus large de tous les changements opérés dans chacune des fermes dans le temps. Ceci est utile à la fois pour les propriétaires mais également pour les volontaires. Ainsi chaque nouveau volontaire pourra mieux se rendre compte des dernières actions réalisées par les précédents.
L’idée était d’établir les cartes de chaque ferme du projet « a l’état 0 ». Puis grâce à la constitution d’une méthodologie simplifiée que chaque bénéficiaire puisse au moins une fois par an, pointer sur leur carte toutes les avancées effectuées. Les évolutions seront d’autant plus visibles qu’une couleur différente sera utilisée chaque année.
Mai 2015
Voyage au Honduras, à la découverte de l’Inga Cropping
Du 18 au 23 mai a eu lieu un voyage au Honduras pour découvrir différents systèmes agroforestiers. Plusieurs agriculteurs de la communauté de Bartola ont ainsi pu visiter le CEDEC (Centro Experimental y Demostrativo de Cacao), le CADETH (Centro Agroforestal Demostrativo del Trópico Húmedo), ainsi qu’une ferme expérimentale pratiquant l’Inga Cropping.
L’Inga Cropping, qui repose sur l’association entre l’Inga edulis et différentes cultures (maïs, haricots, malanga, ananas …), permet de cultiver avec un bon rendement malgré des sols initialement très pauvres. En effet, l’Inga est un arbre avec de nombreux avantages : il permet la fixation d’azote dans le sol et son approvisionnement en matière organique, possède un recyclage très efficace des nutriments et permet un contrôle des mauvaises herbes. L’Inga Cropping est ainsi un système qui pourrait remplacer la culture sur brûlis, une des causes de la déforestation dans la communauté de Bartola.
La ferme visitait existe depuis trois ans seulement, et la productivité du système est impressionnante. Les agriculteurs sont repartis très enthousiastes de cette visite, et plusieurs d’entre eux sont d’accord pour mettre en place des parcelles expérimentales de ce système dans leurs fermes, afin de tester sa viabilité dans la communauté.
Avril 2015
Des boutures collectées pour initier les parcelles sylvopastorales
Une grande partie du travail récent a été de collecter le matériel végétal nécessaire à la mise en place de système de sylvopastoralisme durable (association de rangées d’arbres fourragers avec des pâturages à haute teneur nutritive). Des arbres qui serviront aussi d’apport d’ombre pour le bétail, de stabilisation des sols et pour ses valeurs qualitatives de bois d’œuvre. Pour l’instant plus de 600 boutures ont été récoltées. Ces boutures servent aussi à initier la mise en place haies vies pour délimiter les parcelles de sylvopastoralisme.
Les bénévoles ont aussi commencé à accompagner les agriculteurs dans la parcellisation de leur exploitation, le choix des parcelles et des espèces à planter. C’est un lourd travail préliminaire et d’ici quelques semaines, de nouvelles parcelles agroforestières verront le jour.
Mars 2015
L’organisation d’un travail communautaire se met en place
Depuis mars, Faustine et Marie, deux étudiantes ingénieur en agronomie et foresterie ont rejoint la communauté de Bartola.
Les bénévoles ont un rôle de dynamisation et d’échanges entre les bénéficiaires du projet. Ceci est important pour partager les ressources et l’expérience de chacun. Un échange avec tous les bénéficiaires leur permettent de communiquer et de s’organiser par eux-mêmes grâce à des réunions régulières d’information et le partage de calendriers de travail consultables par tous.
C’est un travail de suivi à long terme que fournissent ces bénévoles. Une cartographie des exploitations impliquées dans le projet est en cours et elles ont également eu l’occasion de nettoyer et redynamiser les pépinières. Mais la plus grande partie de leur travail est encore de commencer la mise en place des systèmes sylvopastoraux.
De nouveaux financements
En février nous apprenions que le projet Sylvopastoralisme au Nicaragua était retenu pour l’appel de fonds de l’Agence des Micro Projets. Une belle nouvelle et un beau soulagement pour pouvoir aller de l’avant dans le projet.
Comme une bonne nouvelle n’arrive pas seule, en mars la Présidente, Daisy Tarrier, recevait le prix Terre de Femmes de la Fondation Yves Rocher, pour son action environnementale. Un prix pour lequel la dotation ira au projet Sylvopastoralisme pour compléter les financements nécessaires.
En savoir plus sur le prix Terre de Femmes