Après plusieurs mois de visites et d’enquêtes auprès d’agriculteurs et d’acteurs locaux, l’état des lieux sur la présence et les stratégies de conservation de cinq espèces d’arbres menacés se termine. A Pichanaki l’heure du premier bilan est arrivée, et a permis d’initier la sensibilisation des partenaires locaux au projet.
Une réunion de présentation de la méthodologie et des premiers résultats a été organisée avec la participation des quatre coopératives partenaires et du représentant du Service National des Forêts (SERFOR) de Pichanaki. En tant qu’intermédiaire principal des producteurs de café, les coopératives sont au premier rang pour appuyer la conservation de la forêt dont la cause principale de dégradation reste le développement nouvelles parcelles agricoles. L’appui des techniciens pour la conscientisation des agriculteurs sera donc primordial pour garantir la survie des 5 espèces d’arbres visés et plus généralement la conservation des derniers espaces forestiers.
Au cours de cette présentation de nombreuses thématiques ont été abordées : connaissance scientifique, critères d’identification, répartition spatiale, stratégie de conservation et alternatives économiques. L’intention d’un travail concerté à l’échelle régionale a aussi été mis en avant. Cela permettrait notamment de fortifier l’alliance entre coopératives et le SERFOR via le programme développé par Envol Vert.
Aujourd’hui, le travail de diagnostic se poursuit mais cette fois sur le site du projet Cacao Agroforestier à Tingo Maria.
Après plusieurs mois de visites et d’enquêtes auprès d’agriculteurs et d’acteurs locaux, l’état des lieux sur la présence et les stratégies de conservation de cinq espèces d’arbres menacés se termine. A Pichanaki l’heure du premier bilan est arrivée, et a permis d’initier la sensibilisation des partenaires locaux au projet.
Une réunion de présentation de la méthodologie et des premiers résultats a été organisée avec la participation des quatre coopératives partenaires et du représentant du Service National des Forêts (SERFOR) de Pichanaki. En tant qu’intermédiaire principal des producteurs de café, les coopératives sont au premier rang pour appuyer la conservation de la forêt dont la cause principale de dégradation reste le développement nouvelles parcelles agricoles. L’appui des techniciens pour la conscientisation des agriculteurs sera donc primordial pour garantir la survie des 5 espèces d’arbres visés et plus généralement la conservation des derniers espaces forestiers.
Au cours de cette présentation de nombreuses thématiques ont été abordées : connaissance scientifique, critères d’identification, répartition spatiale, stratégie de conservation et alternatives économiques. L’intention d’un travail concerté à l’échelle régionale a aussi été mis en avant. Cela permettrait notamment de fortifier l’alliance entre coopératives et le SERFOR via le programme développé par Envol Vert.
Aujourd’hui, le travail de diagnostic se poursuit mais cette fois sur le site du projet Cacao Agroforestier à Tingo Maria.