Après cinq ans de projet, presque tous les objectifs ont été atteints.
Les agriculteurs ne pratiquent plus le brûlage de végétaux ou la production de charbon de bois. Les parcelles sont maintenant exploitées en agroforesterie, avec une grande diversification de cultures. Au total, 4 000 arbres ont été plantés dans la région. Un espace silvopastoral a été créé et le guáimaro fait maintenant partie de la culture des membres du projet Límites.
La communauté a également été formée à la transformation alimentaire, qui est l’une des activités phares de l’association paysanne créée. En effet, ASOCALIM (Asociación de Campesinos de Los Límites) a réussi à mettre en place de nouvelles alternatives économiques durables, comme la vente de ses produits biologiques ou même l’agrotourisme.
Malheureusement, le processus juridique visant à établir un corridor écologique entre deux réserves n’a pas abouti. Le projet a malgré tout contribué à la conservation de la biodiversité de la forêt tropicale sèche, y compris la protection du singe Titi, grâce aux plantations rétablissant un environnement favorable au développement de l’espèce.
L’association paysanne ASOCALIM a déjà trois ans d’expérience et continue de se renforcer tant sur le plan matériel qu’organisationnel. Elle a pu se présenter comme un acteur environnemental clé dans la région. Elle a construit des alliances avec les différentes organisations et entités régionales. ASOCALIM semble donc en bonne voie de reprendre le projet après cinq ans de soutien de l’ONG Envol Vert.
Et la suite ?
On se revoit bientôt, donc pas d’adieu, car nous continuerons à leur rendre visite trois ou quatre fois par an, en assurant le lien entre eux et les acheteurs nationaux et en suivant les progrès. Si nécessaire, en les accompagnant dans leurs difficultés. Ces articles présentent les échanges inter-projets réalisés afin de partager les expériences et les savoirs sur des thématiques précises entre paysans de zones géographiques distinctes mais similaires au niveau des écosystèmes.
Après cinq ans de projet, presque tous les objectifs ont été atteints.
Les agriculteurs ne pratiquent plus le brûlage de végétaux ou la production de charbon de bois. Les parcelles sont maintenant exploitées en agroforesterie, avec une grande diversification de cultures. Au total, 4 000 arbres ont été plantés dans la région. Un espace silvopastoral a été créé et le guáimaro fait maintenant partie de la culture des membres du projet Límites.
La communauté a également été formée à la transformation alimentaire, qui est l’une des activités phares de l’association paysanne créée. En effet, ASOCALIM (Asociación de Campesinos de Los Límites) a réussi à mettre en place de nouvelles alternatives économiques durables, comme la vente de ses produits biologiques ou même l’agrotourisme.
Malheureusement, le processus juridique visant à établir un corridor écologique entre deux réserves n’a pas abouti. Le projet a malgré tout contribué à la conservation de la biodiversité de la forêt tropicale sèche, y compris la protection du singe Titi, grâce aux plantations rétablissant un environnement favorable au développement de l’espèce.
L’association paysanne ASOCALIM a déjà trois ans d’expérience et continue de se renforcer tant sur le plan matériel qu’organisationnel. Elle a pu se présenter comme un acteur environnemental clé dans la région. Elle a construit des alliances avec les différentes organisations et entités régionales. ASOCALIM semble donc en bonne voie de reprendre le projet après cinq ans de soutien de l’ONG Envol Vert.
Et la suite ?
On se revoit bientôt, donc pas d’adieu, car nous continuerons à leur rendre visite trois ou quatre fois par an, en assurant le lien entre eux et les acheteurs nationaux et en suivant les progrès. Si nécessaire, en les accompagnant dans leurs difficultés. Ces articles présentent les échanges inter-projets réalisés afin de partager les expériences et les savoirs sur des thématiques précises entre paysans de zones géographiques distinctes mais similaires au niveau des écosystèmes.