À la suite de la campagne “Casino, (Eco)responsable de la déforestation – Stop au double jeu”, que nous avons lancé le 30 juin, nous avons depuis vu apparaître plusieurs articles et posts, laissant croire qu’Envol Vert pourrait être lié au Groupe Carrefour et impliquant une non-objectivité dans nos actions.
Dans un souci de transparence, nous avons décidé de nous exprimer sur plusieurs points afin de rétablir la vérité.
En premier lieu, Envol Vert et Carrefour n’ont jamais eu de partenariat et Envol Vert n’a jamais touché aucun fonds du groupe Carrefour. Notre indépendance financière vis à vis de quelconque bailleur n’est pas à remettre en cause. C’est même l’inverse puisque le groupe Casino en Colombie (Éxito) fût associé, il y a de nombreuses années, à un festival que nous organisons. Notre liste de partenaires mécène est à jour ici. Nous sommes particulièrement attentifs au type d’entreprise avec qui nous avons des partenariats. Nous avons près d’une trentaine de partenaires privés qui représentent 64% de notre Budget, et aucun ne représente plus de 11% du budget de l’association, ce qui nous permet de ne dépendre d’aucun. Pour plus d’information, nos rapports d’activités et financiers sont publics.
Ensuite, s’il est vrai que Stéphanie Mathey, ancienne salariée de la Direction RSE de Carrefour, est membre du conseil d’administration d’Envol Vert depuis janvier 2014 (et non membre de l’équipe permanente), elle a quitté le groupe Carrefour en 2013 et n’a pas participé à cette campagne.
Boris Patentreger, a collaboré, en tant que consultant indépendant, avant le lancement de la campagne, avec le groupe Carrefour sur un projet de cacao en Côte d’Ivoire afin d’identifier les origines des planteurs. Cette collaboration a été close avant la prise de contact officielle avec le groupe Casino.
Enfin, le plus important, si Envol Vert a choisi de dénoncer les pratiques du groupe Casino dans cette campagne plutôt qu’un autre acteur, c’est pour les raisons suivantes :
Si Envol Vert a choisi de cibler le groupe Casino c’est principalement car le pouvoir de transformation du groupe sur les 2 pays avec le plus de biodiversité est très important. Cependant, les demandes formulées pour le groupe Casino valent évidemment pour tous les autres distributeurs au Brésil et en Colombie (Carrefour inclus). Ils seront très prochainement contactés à cette fin. Pour transformer un secteur, l’ensemble des acteurs doivent s’engager. Le mode d’actions des ONGs est justement de cibler le leader d’un secteur qui en tant qu’acteur dominant a d’autant plus de responsabilité et de poids pour mettre en place la durabilité sur sa chaîne d’approvisionnement. Dans ce cas le groupe Casino.
Les autres acteurs, dont le groupe Carrefour en tête, sont loin d’être exemplaires. Deux articles sont récemment sortis mettant en cause ce dernier sur sa responsabilité dans la déforestation. Le premier en avril dans Médiapart (incluant le groupe Casino) et le second la semaine dernière dans Disclose.
Nous sommes ravis de voir que la pression sur l’ensemble des distributeurs responsables de la déforestation se fait chaque jour plus forte. Cette pression est d’autant plus importante que l’enjeu est immense sur la déforestation en Amérique du Sud.
À la suite de la campagne “Casino, (Eco)responsable de la déforestation – Stop au double jeu”, que nous avons lancé le 30 juin, nous avons depuis vu apparaître plusieurs articles et posts, laissant croire qu’Envol Vert pourrait être lié au Groupe Carrefour et impliquant une non-objectivité dans nos actions.
Dans un souci de transparence, nous avons décidé de nous exprimer sur plusieurs points afin de rétablir la vérité.
En premier lieu, Envol Vert et Carrefour n’ont jamais eu de partenariat et Envol Vert n’a jamais touché aucun fonds du groupe Carrefour. Notre indépendance financière vis à vis de quelconque bailleur n’est pas à remettre en cause. C’est même l’inverse puisque le groupe Casino en Colombie (Éxito) fût associé, il y a de nombreuses années, à un festival que nous organisons. Notre liste de partenaires mécène est à jour ici. Nous sommes particulièrement attentifs au type d’entreprise avec qui nous avons des partenariats. Nous avons près d’une trentaine de partenaires privés qui représentent 64% de notre Budget, et aucun ne représente plus de 11% du budget de l’association, ce qui nous permet de ne dépendre d’aucun. Pour plus d’information, nos rapports d’activités et financiers sont publics.
Ensuite, s’il est vrai que Stéphanie Mathey, ancienne salariée de la Direction RSE de Carrefour, est membre du conseil d’administration d’Envol Vert depuis janvier 2014 (et non membre de l’équipe permanente), elle a quitté le groupe Carrefour en 2013 et n’a pas participé à cette campagne.
Boris Patentreger, a collaboré, en tant que consultant indépendant, avant le lancement de la campagne, avec le groupe Carrefour sur un projet de cacao en Côte d’Ivoire afin d’identifier les origines des planteurs. Cette collaboration a été close avant la prise de contact officielle avec le groupe Casino.
Enfin, le plus important, si Envol Vert a choisi de dénoncer les pratiques du groupe Casino dans cette campagne plutôt qu’un autre acteur, c’est pour les raisons suivantes :
Si Envol Vert a choisi de cibler le groupe Casino c’est principalement car le pouvoir de transformation du groupe sur les 2 pays avec le plus de biodiversité est très important. Cependant, les demandes formulées pour le groupe Casino valent évidemment pour tous les autres distributeurs au Brésil et en Colombie (Carrefour inclus). Ils seront très prochainement contactés à cette fin. Pour transformer un secteur, l’ensemble des acteurs doivent s’engager. Le mode d’actions des ONGs est justement de cibler le leader d’un secteur qui en tant qu’acteur dominant a d’autant plus de responsabilité et de poids pour mettre en place la durabilité sur sa chaîne d’approvisionnement. Dans ce cas le groupe Casino.
Les autres acteurs, dont le groupe Carrefour en tête, sont loin d’être exemplaires. Deux articles sont récemment sortis mettant en cause ce dernier sur sa responsabilité dans la déforestation. Le premier en avril dans Médiapart (incluant le groupe Casino) et le second la semaine dernière dans Disclose.
Nous sommes ravis de voir que la pression sur l’ensemble des distributeurs responsables de la déforestation se fait chaque jour plus forte. Cette pression est d’autant plus importante que l’enjeu est immense sur la déforestation en Amérique du Sud.