« L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde », Nelson Mandela.
Dans un contexte où un changement des pratiques humaines s’impose à tous les niveaux pour répondre à l’urgence climatique, Envol Vert partage cette vision de l’éducation et continue son travail de sensibilisation à l’égard des plus jeunes. Ce seront eux, demain, qui décideront du futur de la forêt amazonienne.
Dans les communautés proches de la concession, se cultivent principalement le tabac et le maïs, en monoculture, et bien souvent (aidés ?) de pesticides. Ces pratiques agricoles épuisent les sols, incitant les agriculteurs à rechercher de nouveaux terrains pour pratiquer leur activité. Dans l’amazonie, cela signifie qu’ils vont déforester plus encore pour trouver une terre fertile qui leur donnera de bons rendements. Afin de limiter cette perte de biodiversité, il s’agit de changer les mœurs et les habitudes pour des méthodes plus durables et respectueuses de l’environnement : à nous de semer des graines d’idées chez les plus jeunes.
Nous avons ainsi réalisé un atelier avec les enfants de Santa Lucia et Mahuizo sur la thématique de la croissance et des bienfaits des plantes. Entre jeux, explications et dessins, un total de 50 enfants a appris le fonctionnement du cycle de l’eau, de la vie du sol, des besoins des plantes pour grandir… Dans des petites boîtes d’œufs en carton, chaque enfant a pu semer des graines de concombre, tomates, oignons chinois et caiguas. Armés de nouvelles connaissances, ils ont pour objectif d’entretenir (sans pesticides) leurs futures jeunes pousses jusqu’à notre retour au mois de mai !
Au vu de leur implication, nous avons bon espoir de leur préparer une salade composée grâce au fruit de leur travail.
« L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde », Nelson Mandela.
Dans un contexte où un changement des pratiques humaines s’impose à tous les niveaux pour répondre à l’urgence climatique, Envol Vert partage cette vision de l’éducation et continue son travail de sensibilisation à l’égard des plus jeunes. Ce seront eux, demain, qui décideront du futur de la forêt amazonienne.
Dans les communautés proches de la concession, se cultivent principalement le tabac et le maïs, en monoculture, et bien souvent (aidés ?) de pesticides. Ces pratiques agricoles épuisent les sols, incitant les agriculteurs à rechercher de nouveaux terrains pour pratiquer leur activité. Dans l’amazonie, cela signifie qu’ils vont déforester plus encore pour trouver une terre fertile qui leur donnera de bons rendements. Afin de limiter cette perte de biodiversité, il s’agit de changer les mœurs et les habitudes pour des méthodes plus durables et respectueuses de l’environnement : à nous de semer des graines d’idées chez les plus jeunes.
Nous avons ainsi réalisé un atelier avec les enfants de Santa Lucia et Mahuizo sur la thématique de la croissance et des bienfaits des plantes. Entre jeux, explications et dessins, un total de 50 enfants a appris le fonctionnement du cycle de l’eau, de la vie du sol, des besoins des plantes pour grandir… Dans des petites boîtes d’œufs en carton, chaque enfant a pu semer des graines de concombre, tomates, oignons chinois et caiguas. Armés de nouvelles connaissances, ils ont pour objectif d’entretenir (sans pesticides) leurs futures jeunes pousses jusqu’à notre retour au mois de mai !
Au vu de leur implication, nous avons bon espoir de leur préparer une salade composée grâce au fruit de leur travail.