Publié le : 14/05/20252,1 min de lecture

Cet atelier a réuni les communautés des hameaux de Coraza, La Siria, La Venta et La Esperanza, dans le but de réfléchir aux alternatives économiques à partir des produits issus de la forêt sèche tropicale. À travers un dialogue collectif, les participants ont commencé à envisager l’organisation du projet de manière participative, en unissant les efforts des producteurs, des responsables administratifs, des transformateurs et des personnes chargées de la commercialisation. 

Pour faciliter la réflexion, un jeu appelé « le crocodile » a été réalisé. Les participants, répartis en groupes, devaient résoudre un problème en s’organisant selon des critères comme l’âge, la taille ou le genre. Cet exercice a permis de mettre en évidence l’importance de la collaboration et du respect des capacités de chacun. 

Les alternatives économiques se concentrent sur la production et le développement de la fleur d’hibiscus (flor de Jamaica), de l’orejero, du chutney de mangue et du guáimaro. La réunion a stimulé la motivation des participants à poursuivre la production de la fleur d’hibiscus et à s’impliquer dans les processus de transformation. Le processus de définition des alternatives économiques à Toluviejo a été divisé en quatre domaines : production de matières premières, transformation, commercialisation et administration, car le développement d’une activité doit être intégral, de la production à la vente. Chaque participant des hameaux a pu réfléchir à son rôle dans le cadre du projet. Les activités de transformation sont principalement dirigées par des femmes du projet, plus que par des hommes, même si l’un des objectifs est de favoriser une plus grande participation masculine à cette étape. 

Les données et statistiques présentées par Laura, la coordinatrice du projet en Colombie, ont montré qu’il existe un potentiel pour continuer à développer la fleur d’hibiscus et le guáimaro, avec le soutien de la marque Tamandua. Envol Vert s’engage à acheter, au cours de l’année prochaine, les produits mentionnés, ce qui représente une opportunité concrète pour renforcer l’économie locale et consolider les chaînes de valeur. La participation a été active, avec l’intégration de nouveaux jeunes et de membres d’Asoprocar. Ainsi, des progrès ont été réalisés dans la construction d’une vision commune visant à orienter la transformation des produits forestiers, en pensant à une économie locale plus juste et plus durable.

Publié le : 14/05/20252,1 min de lecture

Cet atelier a réuni les communautés des hameaux de Coraza, La Siria, La Venta et La Esperanza, dans le but de réfléchir aux alternatives économiques à partir des produits issus de la forêt sèche tropicale. À travers un dialogue collectif, les participants ont commencé à envisager l’organisation du projet de manière participative, en unissant les efforts des producteurs, des responsables administratifs, des transformateurs et des personnes chargées de la commercialisation. 

Pour faciliter la réflexion, un jeu appelé « le crocodile » a été réalisé. Les participants, répartis en groupes, devaient résoudre un problème en s’organisant selon des critères comme l’âge, la taille ou le genre. Cet exercice a permis de mettre en évidence l’importance de la collaboration et du respect des capacités de chacun. 

Les alternatives économiques se concentrent sur la production et le développement de la fleur d’hibiscus (flor de Jamaica), de l’orejero, du chutney de mangue et du guáimaro. La réunion a stimulé la motivation des participants à poursuivre la production de la fleur d’hibiscus et à s’impliquer dans les processus de transformation. Le processus de définition des alternatives économiques à Toluviejo a été divisé en quatre domaines : production de matières premières, transformation, commercialisation et administration, car le développement d’une activité doit être intégral, de la production à la vente. Chaque participant des hameaux a pu réfléchir à son rôle dans le cadre du projet. Les activités de transformation sont principalement dirigées par des femmes du projet, plus que par des hommes, même si l’un des objectifs est de favoriser une plus grande participation masculine à cette étape. 

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