Un des objectifs du projet au sein de la Concession pour la Conservation Yanayacu Maquía (CCYM) est de développer des alternatives économiques. Ainsi, dans le cadre du processus de valorisation future des fruits de l’aguaje (Mauritia flexuosa), l’équipe formée de quatre gardes forestiers et de la coordinatrice de projet, a entrepris une excursion le long du ruisseau Romayna en direction de cet écosystème inondé. L’objectif était d’obtenir des données de terrain à partir de l’évaluation du palmier en question.
Pour atteindre la zone, il a fallu du temps et faire face à des situations que seule la forêt amazonienne peut présenter. Nous avons notamment trouvé une anguille électrique qui nous a empêché d’identifier les espèces (Electrophorus electricus et Electrophotus voltai avec l’analyse ADN que nous avions fait en mars), en raison de la rapidité et des précautions à adopter.
Enfin, nous avons pu géoréférencer, dimensionner et compter les grappes de 82 individus de Mauritia flexuosa, dans deux unités de gestion forestière (UGF). Ces données seront soumises à l’Unité de Gestion Forestière et de la Faune Sylvestre Ucayali – Contamana à Loreto. Cela fait partie du processus à suivre pour que la CCYM obtienne un permis de valorisation durable des ressources naturelles autres que le bois. De plus, cela impulsera le développement d’une alternative économique à la déforestation…
Un des objectifs du projet au sein de la Concession pour la Conservation Yanayacu Maquía (CCYM) est de développer des alternatives économiques. Ainsi, dans le cadre du processus de valorisation future des fruits de l’aguaje (Mauritia flexuosa), l’équipe formée de quatre gardes forestiers et de la coordinatrice de projet, a entrepris une excursion le long du ruisseau Romayna en direction de cet écosystème inondé. L’objectif était d’obtenir des données de terrain à partir de l’évaluation du palmier en question.
Pour atteindre la zone, il a fallu du temps et faire face à des situations que seule la forêt amazonienne peut présenter. Nous avons notamment trouvé une anguille électrique qui nous a empêché d’identifier les espèces (Electrophorus electricus et Electrophotus voltai avec l’analyse ADN que nous avions fait en mars), en raison de la rapidité et des précautions à adopter.
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