Les chantiers de plantation sont officiellement terminés : chaque racine a trouvé sa terre d’accueil. Les enfants du collectif Des enfants et des arbres ont accompagné une partie de cette belle aventure. Merci aussi aux agriculteur·rices qui nous ont accueillis, de Léa Charras et Ute Zwanzig en terres héraultaises à Bérangère Demeautis, Sabrina Serres et la grange de Baffignac dans le Tarn !
Au total, ce sont cinq chantiers de plantation qui ont eu lieu sous un beau soleil d’hiver. Si planter des arbres est un véritable art, lorsqu’il est partagé avec des dizaines de petites mains, cela devient rapidement un jeu d’enfant et une compétition joyeuse pour savoir qui en plantera le plus. Il faut bien avouer que le plus difficile est souvent de creuser des sols parfois gelés, ou plein de pierres et de racines de chien-dents. Mais la motivation générale est restée intacte et aucun trou n’a été épargné par nos pelles, pioches et louchets.
Les journées débutaient par une petite explication sur la bonne manière de planter un arbre : tremper les racines dans le pralin, bien disposer celles-ci dans le trou d’une quarantaine de centimètres de profondeur, les recouvrir de terre avec soin, puis pailler et protéger les jeunes plants. Ces moments étaient aussi l’occasion de découvrir et d’apprendre les noms des arbres afin de mieux apprécier ce qui pousse dans nos champs. Il faut dire qu’il était plus facile pour eux de retenir des espèces de fruitiers commun, comme le poirier, le prunier ou le cognassier, que les variétés moins familières, comme l’arbre de Judée, l’aulne ou le cornouiller. Heureusement, Théophile et Lucille étaient présents pour répondre à la multitude de questions des enfants.
À la fin de chaque journée, les enfants repartaient (parfois à pied) avec presque autant d’énergie qu’à leur arrivée, et un travail monumental accompli. La fierté de voir tous ces arbres en place, prêts à grandir, était évidente sur tous les visages.
Les chantiers de plantation sont officiellement terminés : chaque racine a trouvé sa terre d’accueil. Les enfants du collectif Des enfants et des arbres ont accompagné une partie de cette belle aventure. Merci aussi aux agriculteur·rices qui nous ont accueillis, de Léa Charras et Ute Zwanzig en terres héraultaises à Bérangère Demeautis, Sabrina Serres et la grange de Baffignac dans le Tarn !
Au total, ce sont cinq chantiers de plantation qui ont eu lieu sous un beau soleil d’hiver. Si planter des arbres est un véritable art, lorsqu’il est partagé avec des dizaines de petites mains, cela devient rapidement un jeu d’enfant et une compétition joyeuse pour savoir qui en plantera le plus. Il faut bien avouer que le plus difficile est souvent de creuser des sols parfois gelés, ou plein de pierres et de racines de chien-dents. Mais la motivation générale est restée intacte et aucun trou n’a été épargné par nos pelles, pioches et louchets.
Les journées débutaient par une petite explication sur la bonne manière de planter un arbre : tremper les racines dans le pralin, bien disposer celles-ci dans le trou d’une quarantaine de centimètres de profondeur, les recouvrir de terre avec soin, puis pailler et protéger les jeunes plants. Ces moments étaient aussi l’occasion de découvrir et d’apprendre les noms des arbres afin de mieux apprécier ce qui pousse dans nos champs. Il faut dire qu’il était plus facile pour eux de retenir des espèces de fruitiers commun, comme le poirier, le prunier ou le cognassier, que les variétés moins familières, comme l’arbre de Judée, l’aulne ou le cornouiller. Heureusement, Théophile et Lucille étaient présents pour répondre à la multitude de questions des enfants.
À la fin de chaque journée, les enfants repartaient (parfois à pied) avec presque autant d’énergie qu’à leur arrivée, et un travail monumental accompli. La fierté de voir tous ces arbres en place, prêts à grandir, était évidente sur tous les visages.